Le Bon'œuf réserve sa recette à Octobre rose

Christelle et Jean-François Koenig, qui proposent la vente en circuit court de leur production d’œufs, reverseront la totalité des recettes des 27 et 28 octobre de leurs distributeurs à la recherche contre le cancer du sein.

Ce week-end, se fournir auprès des distributeurs automatiques « Le bon’œuf est dans le pré » représentera bien plus qu’un simple achat de qualité. Il sera synonyme d’un soutien à la lutte contre le cancer du sein. Les agriculteurs Christelle et Jean-François Koenig, qui proposent la vente en circuit court de leur production d’œufs, ont en effet, décidé de s’engager en faveur de l’opération « Octobre rose ». Une campagne annuelle de sensibilisation au dépistage et à la collecte de fonds pour la recherche.

Le cancer du sein, « je me sens naturellement concernée en tant que femme et je constate autour de moi, les dégâts psychologiques que provoque la maladie lorsqu’elle n’est pas détectée à temps » confie Christelle.

Diabète, don d’organes ou don du sang : elle est elle-même très impliquée au niveau associatif. « Ce sont des causes qui méritent que l’on se bouge et il est essentiel d’aider les associations qui s’investissent ». Son objectif premier est donc de sensibiliser un maximum de personnes à l’importance d’agir. « Chacun d’entre nous peut faire quelque chose ».

Les 27 et 28 octobre, l’achat d’une douzaine d’œufs équivaudra ainsi à un don en faveur de la recherche contre le cancer du sein. La totalité des recettes du week-end sera reversée à une association. Un mot de remerciement accompagnera chaque boîte ; une manière « de responsabiliser le consommateur et qu’il se sente, par son geste, impliqué lui aussi, pour la bonne cause » conclut Christelle.

Pour participer à cette mobilisation généreuse, rendez-vous dans l’un des six chalets du Bon’œuf situés à Bessoncourt, Danjoutin, Delle, Roppe, Sermamagny et Vauthiermont. Des banderoles, sur lesquelles la poule mascotte arbore l’emblématique ruban rose, facilitent leur localisation.

Je me sens naturellement concernée en tant que femme par le cancer du sein et je constate autour de moi, les dégâts psychologiques que provoque la maladie lorsqu’elle n’est pas détectée à temps.

Christelle Koenig  Agricultrice